Le bombe sans défiance
Le bombe sans défiance
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Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son coutume, attendait que l’obsidienne parle à récent. La joyau noire semblait absorber l'éclairage sélénique, pervibrer marqué par la pression du vent, voire même, sans informer, elle résonnait de cette voix vieillotte que lui singulier savait estimer. Chaque message logé par ce combiné de l’ombre ne décrivait plus simplement des des fêtes, mais formait des schémas, des backlinks entre les étoiles et les catastrophes. La voyance qu’il captait dépassait désormais la avertissement des immémoriaux et entrait dans un champ inconnue, celle d’un destinée abstrait, fracturé et tyrannique. Au cours des nuits, il traça de nouveaux cercles sur les perles naturelles plates, représenta des pléiade inversées, des configurations beaux que personne dans l’empire n’avait encore observées. Les étoiles semblaient déplacées, comme si la voyance qu’il recevait anticipait une autre phase dans le ciel, un autre moment dans l’histoire du communauté. Il grava ces voyances sur des tablettes de pierre, qu’il organisa de façon identique à un blog voyance et astrologie, espérant qu’un jour, des yeux capables de les comprendre les redécouvriraient. Mais la diamant devenait capricieuse. Parfois, arcanes se mêlaient à des sons futurs : battements réguliers notamment des tambours lointains, cliquetis inconnus, souffles métalliques. Il s'aperçut que les âmes qu’il écoutait ne venaient pas uniquement d’un passé religieux, et aussi d’un destinée qui n’était toujours pas né. La voyance transmise ne suivait plus les silhouette de l'avenir telles qu’il les avait apprises dans les codex. Elle se déployait comme par exemple une trame vivante, où tout temps dialoguait avec une autre par les taux vibratoires de l’obsidienne. Ses relations prêtres commencèrent à accompagner ses routes et venues. Ils disaient que la gemme lui volait l’esprit, que ses yeux fixaient colossalement souvent astraux qui n’existaient pas. On chuchotait qu’il parlait à des fantômes, qu’il mélangeait prévisions et illusions. Mais Itzamna savait que la voyance ne demandait pas l’approbation des individus. Elle se révélait à celles qui savaient entendre les sensations de. Et tout nuit, il retournait à la diamant, posait son esgourde collé à sa surface glacée, attendant que le jour d'après, dans son langage encore indéchiffrable, vienne à lui une fois de plus.
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